Ballonnements, gazs, flatulences: comment y remédier ?

Comment vider son ventre des gazs? Causes et solutions pour les ballonnements

⚠️Cet article n’est pas un diagnostic et ne constitue pas une ordonnance. Il regroupe des conseils d’hygiène de vie. Il ne se substitue pas à l’avis d’un médecin ni à un traitement donné par votre médecin traitant. Les produits conseillés ne sont pas des médicaments mais des compléments alimentaires naturels disponibles dans des magasins spécialisés. Ils ne remplacent pas les médicaments prescrits par votre médecin. Un traitement ne doit jamais être arrêté sans consulter votre médecin.

 

Aérophagie, aérocolie, météorisme, gazs, ballonnements, flatulences… Différentes appellations qui ont chacune leurs petites nuances mais qui indiquent une surproduction et accumulation de gazs dans le système digestif provoquant un ventre qui gonfle. Souvent chroniques et parfois invalidantes (physiquement avec douleurs ou socialement), ces affections sont des causes de consultations très fréquentes en naturopathie. Le degré de sévérité peut varier, les endroits de manifestation également et les causes sont souvent multifactorielles. Nous parlerons dans cet article en priorité des ballonnements que nous ressentons au niveau de l’intestin et des côlons. Seule une enquête méthodique et minutieuse, une approche causale et fonctionnelle (qui prend en compte les différentes fonctions du corps et leurs interactions sur notre physiologie) ainsi qu’une prise en charge naturelle et globale, nous permets de comprendre les causes sous-jacentes et d’y remédier structurellement. C’est évidemment, vous l’avez compris, les bases de la naturopathie et particulièrement de mon approche.

 

Est ce normal d’avoir des gazs et flatulences ?

Oui tout à fait! Normal, obligatoire et indispensable. La fermentation intestinale joue des rôles très important pour notre santé. Elle se passe principalement dans les côlons grâce à notre fameux microbiote qui, quand bien équilibré, travaille pour notre santé. (Nous verrons plus bas qu’une remontée de ces bactéries plus haut dans l’intestin grêle est non physiologique et engendre des pathologies et problèmes intestinaux supplémentaires).

Il y a deux types de flores principales qui doivent rester en équilibre:

  • La flore de fermentation: se situe principalement dans le côlon ascendant et est composée de bactéries anaérobies lactiques ainsi que de bifidobactéries. Elle fermente les glucides complexes (polysaccharides, oligosaccharides, amidons résistants) type : amidons et céréales … et les fibres prébiotiques . Du gaz carbonique est ainsi libéré qui engendre flatulences et ballonnements (plutôt inodores). La fermentation crée également des messagers moléculaires, les AGCC (acides gras à chaînes courtes type butyrate, propionate, acétate). Ces métabolites jouent des rôles critiques dans la production d’énergie de la muqueuse, l’entretien du mucus, la gestion de l’inflammation… La qualité de notre flore de fermentation dépend d’un équilibre fragile entre ce que l’on mange, la diversité et qualité de notre microbiote et bien d’autres facteurs synergiques.

Des déséquilibres divers (consommation excessive de sucres simples, de protéines, stress, toxines etc..) vont altérer la flore, créer une dysbiose, permettre de développer une flore pathogène en excès (pouvant aller jusqu’à la candidose) et installer des gazs et ballonenemnts chroniques et néfastes. Trop de flore de fermentation crée donc un déséquilibre intrinsèque (dysbiose), va aussi en conséquence augmenter la flore de putréfaction et donc créer un autre déséquilibre général du microbiote intestinal. (dysbiose vs eubiose).

 

  • La flore de putréfaction: se situe dans le côlon gauche descendant. Elle utilise plutôt les protéines (surtout animales) comme énergie. Une surconsommation de protéines, de graisses animales ou une insuffisance de fibres, un terrain trop acide vont entraîner un excès de cette flore créant également des ballonnements et gazs (odorants cette fois-ci), mais aussi des métabolites néfastes pro inflammatoires en excès (polyamines pro-cancérigènes ). Une haleine forte et une langue chargée seront aussi des signes d’alarme de ce déséquilibre.

Nous l’avons donc vu, ce sont ces déséquilibres des flores intestinales qui créent les gazs et ballonements. Chroniques ces dysbioses et inflammations engendrent des pathologies bien connues et/ou de plus en plus répandues appelées colopathie fonctionnelles, syndrome du colon irritable ou de l’intestin irritable (SII), SIBO, SIFO, candidose, constipation, porosité intestinale (leaky gut) etc…

Flore intestinale et concentration de bactéries dans le tube digestif.

Les causes plus profondes et parallèles

Nous avons vu les mécanismes de base des 2 types de fermentation et l’impact sur notre flore et les ballonnements. Cependant, les systèmes du corps travaillent toujours de concert et ces déséquilibres ont souvent des causes multiples qui altèrent en sus ces mécanismes.

Un système digestif déficient:

Une digestion haute altérée ou peu efficiente entraînera toujours une digestion basse (grêle et côlons) non optimale et non favorisera les gazs et ballonements. Diverses causes:

  • Bien digérer commence donc dans la bouche où une bonne mastication devra être privilégiée pour casser les fibres, activer les enzymes digestives et commencer efficacement le travail de désintégration du bol alimentaire. Manger trop vite et ne pas mastiquer déréglera et surchargera les prochaines étapes digestives.
  • Nous pouvons aussi avoir des ballonnements au niveau de l’ estomac. Ils peuvent participer aux causes des gazs et ballonnement dans le reste du tube digestif mais également en être les conséquences. C’est à dire que l’estomac peut ballonner intrinsèquement (comme exposé dans les points juste ci dessous (HCL/HPY/IPP)) mais aussi à causes des autres problématiques détaillées plus bas, celles ci provoquant les gazs en question qui, remontant le tube digestif, reviennent dans l’estomac provoquant ballonnements et éructations.
    • Un manque d’acide chlorhydrique dans l’estomac (hypochlorhydrie) entrainera une mauvaise mobilisation des sucs digestifs et une mauvaise décomposition des protéines (facteur de putréfaction). Effectuer le test au bicarbonate peut aider pour avoir une première idée de notre capacité stomachale.
    • Autre problématique peut être une infection de l’estomac à Helicobacter Pylori (HPY). Cette bactérie pathogène tenace et agressive va altérer la muqueuse intestinale et créer une gastrite chronique affectant la capacité de l’estomac à bien faire son travail.
    • Une prise prolongée d’IPP (inhibiteur de la pompe à protons) déréglera la production d’HCL de l’estomac impactant la digestion générale et des protéines en amont.
  • Un foie surchargé qui ne fait plus bien son travail. Un manque de micronutriments et de minéraux entravera la bonne fonction du foie et ses 2 phases principales et critiques de détoxification des déchets endogènes et exogènes (Phase 1 d’activation et Phase 2 de conjugaison). Un foie engorgé fonctionnant mal aura également un impact sur la synthèse de la bile et sur la qualité des acides biliaires. Ceux ci ont un rôle critique pour bien digérer mais également dans la désinfection du bol alimentaire. A défaut, les bactéries pathogènes peuvent plus proliférer et donc créer une dysbiose délétère source de gazs et ballonnements.

 

Une alimentation non adaptée:

L’alimentation est évidemment un facteur clé pouvant engendrer gazs et ballonnements excessifs. La quantité, la qualité et les associations seront des éléments clés. Nous retrouvons ici les conseils classiques d’une alimentation hypotoxique et anti-inflammatoire pour éviter une déséquilibre de la digestion et donc du microbiote. Un apport de nourriture en effet trop important, trop gras (graisses saturées), trop sucré (sucres rapides et simples et excès de sucres complexes), des excès de produits transformés ou ultra transformés, de junk food, d’édulcorants, d’alcool, un manque de fibres (même si nous verrons que cela peut être à double tranchant) sont des facteurs néfastes importants altérant la digestion haute, basse et générateur de dysbiose et de fermentation délétère.

Des allergies (réaction immunitaire) ou intolérances (difficulté digestive) alimentaires peuvent aussi agresser la muqueuse intestinale créer de l’inflammation, de la fermentation et des ballonnements subséquents. Les plus courantes sont: au gluten, au lactose, aux œufs, aux fruits à coque dont arachides, aux crustacés, au soja… Elles sont détectables via le test TROPHATOP – recherche d’IGE (sur ordonnance) ou bien via certains tests de laboratoires privés spécialisés (Barbier ou LIMS) – recherche des IGG alimentaires.

 

Un SIBO/SIFO:

Ce peut être la conséquence mais est plus souvent la cause. On est là sur une affection chronique, tenace qui doit être traitée via une approche multi facettes de du moyen terme. Le SIBO (small intestinal bacterial overgrowth) ou SIFO (small intestinal bacterial overgrowth – dont champignons et candida) est une pullulation bactérienne qui est remontée du côlon dans le grêle lieu normalement hôte de peu de germes coliques. Le SIBO se diagnostique par la clinique, d’autres analyses croisées des autres fonctions du corps, des analyses d’urines (MOU) mais également via un test respiratoire spécialisé. Si on continue de tirer le fil et chercher la cause … de la cause nous tombons alors souvent sur:

  • un ralentissement des muqueuses digestives et une altération du CCM (complexe migrant moteur) ce qui permets aux bactéries stagnantes de plus fermenter et de remonter le tube digestif (une hypothyroïdie marquée ou frustre peut en être la cause)
  • une dysbiose (on en revient à la base de la fermentation, dans ce cas là déséquilibrée). Les causes sont nombreuses et se cumulent: alimentation, stress, microbiote hérité, prise d’antibiotiques, intoxications, hygiène de vie général déséquilibrée, pollutions. Les conséquences aussi: malabsorption, dénutrition, inflammation de bas grade, porosité intestinale et hémato-encéphalique, atteintes organiques inflammatoires, baisse de l’immunité, sommeil perturbé etc…
  • Un Stress chronique pro inflammatoire, épuisement du nerf vague, pollutions, polymorphisme génétique (FUT2) etc…

Le sujet est très vaste. J’y consacrerai un articlé dédié.

 

Une constipation: la stagnation des matières crée de l’inflammation et va donc donner aux bactéries l’opportunité de plus proliférer et fermenter augmentant les gazs et ballonnements. Voir mon article sur la constipation pour plus de détails.

 

Les solutions pour soulager et mettre fin aux gazs et aux ballonnements.

Naturopathe Paris troubles digestifs.

Les éléments ci dessous sont des idées et axes potentiels de prise en charge à considérer. L’approche doit toujours être causale, globale et axée sur la stimulation de l’auto-guérison. L’application des techniques ou soutiens naturels doivent toujours être inclus dans une stratégie cohérente, globale, personnalisée, de court et moyen terme. C’est comme cela que l’approche naturopathique vous apportera tous ses bienfaits pérennes et respectueux de votre physiologie. Je vous conseille donc de vous faire accompagner par un naturopathe ou praticien de médecine fonctionnelle et intégrative.

1. L’alimentation: encore et toujours comme pilier essentiel et principal en naturopathie.

  • Eviter les excès de sucres (surtout rapides) afin de réduire les fermentations
  • Réduire la consommation de protéines (dont fortes) qui, en excès, créera de la putréfaction
  • Privilégier les cuissons douces
  • Evitez les fritures, les plats trop gras (dont graisses saturées et en sauce)
  • Diminuer les fibres: Oui cela peut être contradictoire car nous avons vu que les fibres sont essentielles et fournissent normalement cette nourriture prébiotiques aux bonnes bactéries. Mais sur un intestin fragile, gonflé, dysbiotique, inflammé, les fibres vont faire flamber les ballonnements. Donc:
    • Réduire le cru
    • Grande vigilance sur les FODMAPS: Ce sont des Fermentescible Oligosaccharides Disaccharides Monosaccharides And Polyols, des glucides complexes qui vont provoquer une augmentation de liquide sur la muqueuse et vont être fermentées par les bactéries coliques => créant ainsi les ballonnements. A tester donc une éviction sur au moins 2-4 semaines avec par la suite une réintroduction ciblée et progressive pour vérifier une intolérance potentielle et comprendre les liens de causes à effet entre consommation de ces glucides complexes fermentescibles et les symptômes. La tenue d’un carnet alimentaire sera utile ! A noter que la plupart des FODMAPS (sauf gluten, produits laitiers et édulcorants) sont d’habitude d’excellents aliments d’origine végétale pour nourrir notre flore. Ainsi, l’éviction ne doit jamais être sur le long terme. Voici une liste simplifiée:
      • Céréales à Gluten / Produits Laitiers (lactose) / Légumineuses
      • Légumes: ail, oignon, asperge, artichaut, champignon, poireau, mange-tout…
      • Fruits: abricot, cerise, mangue, nectarine, pêche, pomme, poire, prune… 
      • Oléagineux: noix de cajou, pistache
      • Autre: Miel, confiture, édulcorants…
  • Pas de fruits après les repas. Les glucides vont fermenter dans l’estomac en attendant d’être digérés et vont donc augmenter les ballonnements. Globalement une alimentation dissociée (ne pas associer protéines et féculents pendant les repas) sera également bénéfique pour réduire les surcharges et aider à bien digérer.
  • Bien mastiquer pour aider les digestions hautes et basses est une astuce simple et critique.
  • Quelques aliments à mettre de côté car agressifs pour l’intestin:
    • Le café
    • Certains légumes riches en soufre comme les fameux choux!
    • Les épices piquantes (poivre, piments, curry…)
    • Les boissons glacées pendant les repas

 

2. Une phase de « Détox » active afin de décharger le corps de ses toxines et mettre au repos le tube digestif. C’est une approche de terrain essentielle pour redonner au corps sa capacité d’auto-guérison.

Sa durée et ses caractéristiques sont à personnaliser selon la vitalité de chacun. Elle peut être articulée autour du soutien des organes émonctoires (foie, reins, peau, poumons…), du repos, d’une monodiète, d’un jeune, du sauna, de massages, de lavements etc…

Le soutien du foie pour qu’il puisse bien faire son travail de détox (2 phases de détoxification et une 3ème avec l’excrétion rénale) est primordial. La phytothérapie sera d’une grande aide.

 

3. Soutenir et relancer les organes digestifs: pour améliorer la digestion générale et donc optimiser le chyme au moment de son passage dans l’intestin grêle et dans le côlon. Estomac: plantes prokinétiques, bétaine HCL. Foie: plantes cholérétiques et cholagogues pour purger, drainer et stimuler la bile. Ainsi que des plantes hépatoprotectrices. Pancréas: enzymes digestives pour soutenir une insuffisance pancréatique potentielle.

Détoxification hépatique – Etapes et micronutriments nécessaires.

4. Régler la dysbiose: pour rééquilibrer la flore.

a) Assainissement de la flore (chlorophylle, huiles essentielles, ail, boswellia serrata, propolis, pollen …)

b) Soutien de la muqueuse intestinale (L-glutamine, polyphénols, curcuma, méthionine, vitamines …)

c) Réensemencement de la flore avec des souches de probiotiques dédiées (Lactobacillus acidophilus NCFM, rhanmnosus, plantarum. Bifidobacterim animalis lactis). Au moins 10 Milliards d’UFC par jour, avec plusieurs souches combinées et associés en symbiotiques avec des prébiotiques sans FODMAP (type fibres d’acacia). Ce peut être également des postbiotiques type Butyrate. A noter que les probiotiques pris lors de ballonnements chroniques et importants sont souvent contre productifs. Il vaut mieux les réintroduire une fois le nettoyage initial fait.

 

5. Gérer son stress:

Cela reste un point majeur et un pilier incontournable dans la gestion des problèmes digestifs et intestinaux. Le système nerveux autonome contrôle la digestion et le péristaltisme. Altéré et déséquilibré par un stress latent ou aigu, le système nerveux autonome passe en hypersympathicotonie (système sympathique trop sollicité) chronique alors que les fonctions de digestion s’opèrent via le système nerveux parasympathique. La digestion générale est alors affectée, renforçant les mécanismes à la cause des gazs et ballonnements. Le stress est également pro-inflammatoire cela dû au cortisol automatiquement sécrété par les surrénales afin de faire face ce alimente les mécanismes négatifs.

Pensez donc à prendre en main votre stress fermement et décisivement. En autonomie avec la respiration (dont la cohérence cardiaque), la méditation, les pensées et affirmations positives, la gestion active et l’ajustement d’un environnement potentiellement négatif, le yoga, le Qi Qong etc… Ou bien aidé par des thérapeutes spécialisés pour aller un peu plus loin et s’occuper de blocages émotionnels latents: EMDR, Hypnose, Acupuncture, TCCs, Gestalt, Psychothérapies…

Un soutien en magnésium de qualité sur une bonne période aidera aussi grandement. Le magnésium est indispensable dans plus de 300 processus physiologiques. Il joue un rôle critique dans la relaxation mentale et émotionnelle et est un soutien efficace pour rétablir une énergie physique. Choisissez un magnésium de qualité bien assimilable (type bisglycinate) associé à de la taurine et de la B6 pour permettre une bonne rentrée et activation cellulaire. Ne pas hésitez à prendre entre 400 à 700 mg de magnésium élément par jour (moitié matin et moitié soir) selon les besoins, âge et corpulence pendant au moins 15 jours

 

Astuces et remèdes de grande mère pour se libérer des gazs:

  • Le charbon végétal activé (en magasin bio): Idéalement avec taux de phénazone > 40%. Remède de grand-mère si il en est. Il est très efficace et pièges les gazs grâce à ses propriétés d’adsorption. 1 à 2 cuillères à soupe avant les 3 repas à délayer dans compote ou autre (ou eau selon les formules et indications). A prendre en continu pendant 10 jours puis ajuster selon les symptômes.
  • L’argile blanche (kaolin) ou verte surfine. En cure d’1 semaine pour capter les gazs et détoxifier la muqueuse. A boire l’eau argileuse les premiers jours puis boire tout le verre si bien toléré.
  • Tisanes d’Anis, de Fenouil ou de Carvi après les repas pour leur côté carminatif. La Menthe poivrée ou le Gingembre également pour soutenir la digestion.
  • Le bicarbonate de soude pour son action digestive générale: consommer quotidiennement 1 cuillère à soupe dans un peu d’eau.

7. Quelques compléments alimentaires et produits naturels :

  • La chlorophylle magnésienne: purifiante, carminative, reminéralisante, régule la flore fongique, elle a également un léger effet laxatif ce qui peut aider si en situation de constipation. 2 gélules le soir au coucher soit environ 500mg de chlorophylle magnésienne par jour pendant 3 semaines.
  • La bromélaïne ou papaïne. Ce sont des enzymes digestives qui vont aider la digestion générale. Ils sont aussi efficace pour déstabiliser les biofilms dans lesquels se regroupent les micro-organismes pathogènes et aideront grandement, à bonnes doses, un cas de SIBO ou SIFO retord.

8. Quelques techniques complémentaires :

  • Le massage spécial ventre Chi Neï Tsang est efficace et permet un soulagement général physique et mental.
  • l’hydrothérapie/irrigation du colon pour un nettoyage plus profond et global. Doit être absolument fait par une praticienne expérimentée qui aura le doigté et les connaissances en réflexologie pour accompagner l’irrigation par des massages et points réflexes précis.

 

Comme nous l’avons vu, au delà des symptômes, la prise en charge doit être globale, naturelle et intégrative pour aller aux causes réelles du trouble et redonner au corps toute sa capacité à se rééquilibrer.

Pour prendre le temps de passer votre santé en revue, construire une stratégie globale et personnalisée, contactez moi pour un rendez-vous à mon cabinet ou en visioconférence. Plus d’infos: https://fabricecravatte-naturopathe.com/

 

Naturopathe Paris 

 

Une vidéo pour aller plus loin: