Transformer ses pensées pour transformer sa vie : Un chemin vers plus de liberté avec l’hypnothérapie

Transformer ses pensées pour transformer sa vie : Un chemin vers plus de liberté avec l’hypnothérapie

Vous est-il déjà arrivé de vous surprendre à ruminer une petite voix qui murmure : « Tu n’y arriveras pas » ou « Ce n’est pas pour toi » ? Ces pensées, on les a tous, et elles peuvent peser lourd, comme un vieux sac à dos rempli de cailloux, surtout si la vie nous a secoués par le passé.

 

Moi, c’est David Frotiée, hypnothérapeute à Besançon, et j’ai vu à quel point nos pensées façonnent notre quotidien, un peu comme un jardinier qui choisit les graines à planter.

Des phrases comme « Je le crois, je le crée », « Je le pense, je l’expérimente » ou « Je le vibre, je le vis » ne sont pas juste des jolies citations – elles nous rappellent une vérité simple : ce qu’on pense et ressent devient notre réalité.

 

Mais pourquoi est-ce si facile de tomber dans le piège des pensées négatives ? Pourquoi ces « je ne suis pas assez » reviennent comme un refrain qu’on n’a pas choisi ? Et surtout, comment changer la musique pour créer une vie plus légère, plus épanouissante ?

 

Dans cet article, je vous emmène avec moi pour comprendre d’où viennent ces croyances qui nous freinent, découvrir ce qu’on peut apprendre des champions comme les sportifs de haut niveau, et voir comment l’hypnothérapie peut devenir une alliée douce pour transformer votre dialogue intérieur.

 

À travers des histoires vraies, je vais vous montrer comment, pas à pas, vous pouvez semer des pensées qui vous portent, même si votre passé a laissé des cicatrices.

 

1. Les croyances limitantes : Ces petites voix qui nous freinent

On a tous des pensées qui agissent comme des barrières invisibles. Vous savez, ces phrases qu’on se répète sans y penser : « Je ne suis pas assez doué », « Je ne mérite pas mieux » ou « C’est trop tard pour moi ». Elles ne sortent pas de nulle part, mais elles peuvent nous coller à la peau comme une vieille étiquette.D’où viennent-elles ?

  • L’enfance, ce terrain fertile : Quand on est petit, les mots des autres s’impriment profondément. Si un parent ou un prof vous a dit « Tu es trop lent », ça peut laisser une trace.
    J’ai vu ça avec Claire, une cliente de 40 ans qui évitait de parler en réunion parce qu’on lui avait répété petite qu’elle était « trop timide ».
  • Les coups durs de la vie : Un échec, un rejet, une rupture… ces moments peuvent nous faire croire qu’on n’est « pas à la hauteur ».
    Lucas, un jeune entrepreneur, a vu sa première start-up s’effondrer. Depuis, il se répétait « Je ne suis pas fait pour réussir », et ça le bloquait pour se relancer.
  • Ce que le monde nous raconte : On grandit dans une société qui nous bombarde de messages. « L’argent, c’est mal », « Les riches sont des malhonnêtes », « Reste à ta place »… Ces idées s’ancrent sans qu’on s’en rende compte.
    Amina, une maman pleine de talents, croyait qu’elle ne méritait pas de prendre du temps pour elle, juste parce qu’on lui avait appris que « les autres passent avant, arrête de t'écouter ».
  • La peur de plonger : Parfois, on se protège en pensant « Mieux vaut ne pas essayer ». C’est comme rester au bord de la piscine par peur de nager.
    Paul, un étudiant, évitait de réviser à fond pour ne pas affronter l’idée qu’il pourrait « ne pas être assez bon ».

 

Des histoires qui parlent à tous
Prenez Marie, 35 ans, employée de bureau. Elle adorait son job, mais refusait les promotions. Pourquoi ? À l’école, on s’était moqué de sa timidité, et elle se répétait « Je ne peux pas parler en public ».
Ou Mehdi, 38 ans, qui n’arrivait plus à dormir, persuadé que « je ne peux pas me détendre ».

Ces croyances, c’est comme porter un sac trop lourd : ça ralentit, ça fatigue, mais on peut apprendre à le poser.

 

2. Pensées négatives : Ce disque rayé qu’on peut arrêter

Avez-vous remarqué comme on a tendance à penser en termes de « je ne veux pas » ? « Je ne veux pas être seul » au lieu de « Je veux créer des liens ».

 

C’est presque automatique, comme si notre cerveau adorait se focaliser sur ce qui cloche. Surtout quand la vie a été rude, ces pensées négatives peuvent devenir un poids supplémentaire, comme traîner une valise pleine de vieilles blessures.

 

Pourquoi on pense comme ça ?

  • Notre cerveau, ce gardien un peu trop zélé : Il est programmé pour repérer le danger. Une critique comme « Tu as raté ce projet » marque plus qu’un compliment comme « Bravo, tu as assuré ». Résultat ? On se répète « Je ne suis pas compétent ».
  • Ce qu’on a appris petits : On nous a souvent dit « Ne tombe pas ! » ou « Ne te trompe pas ! ». Ces phrases nous poussent à voir ce qu’il faut éviter, pas ce qu’on peut accomplir.
    Sophie, une enseignante, ruminait « Je ne suis pas une bonne prof » après une remarque négative, ignorant les sourires de ses élèves.
  • L’influence du monde autour : Dans certaines cultures, vouloir briller peut sembler arrogant. Dire « Je veux réussir » peut attirer des regards en coin, alors on pense « Je ne veux pas me faire remarquer ». Les infos à la télé, avec leurs drames, nous font croire que « tout va mal ».
  • Se protéger du pire : Anticiper l’échec, c’est une façon de se rassurer. Paul, 25 ans, se disait « Je ne vais pas avoir ce stage » pour ne pas être déçu, mais du coup, il ne donnait pas tout.
  • Manque de modèles inspirants : Si autour de vous, on se plaint tout le temps (« On n’a jamais assez d’argent »), c’est dur de penser à l’abondance. Fatima, une commerçante, croyait « Mes affaires ne marcheront jamais », et ça la freinait pour investir.

Des exemples qui résonnent

Sophie, 30 ans, enseignante, se focalisait sur une critique et ignorait les retours positifs de ses élèves.
Paul, étudiant, renonçait à un stage à l’étranger parce que son père lui disait « Ne prends pas de risques ».
Ces pensées négatives, c’est comme une vieille chanson qu’on n’aime plus mais qu’on continue d’écouter.
Bonne nouvelle : on peut changer de playlist !

 

3. Les champions : Une leçon d’état d’esprit

Vous avez déjà regardé un sportif de haut niveau et pensé : « Comment ils font pour être si forts ? » Ce n’est pas juste une question de muscles, mais d’état d’esprit.

Les champions, comme les marathoniens ou les gymnastes, ont une façon de penser qui nous inspire tous.

Ils croient en « Je le crois, je le crée », et ça change tout.

 

Qu’est-ce qu’ils font différemment ?

  • Ils rebondissent après un échec : Un coureur qui finit loin du podium ne se dit pas « Je suis nul ». Il analyse, ajuste, et pense « La prochaine, je serai plus rapide ».
  • Ils domptent leurs émotions : Une gymnaste qui a peur avant un salto visualise un mouvement parfait, se disant « Je vais le réussir ». Ça la met dans le bon mood.
  • Ils se concentrent sur ce qu’ils contrôlent : Un tennisman qui perd un set ne rumine pas le score. Il se dit « Je vais jouer ce point à fond ».
  • Ils ne se définissent pas par leurs échecs : Une nageuse qui rate une qualification ne pense pas « Je suis finie ». Elle se dit « Je peux encore progresser ».
  • Ils rêvent grand : Michael Jordan, qui a raté des milliers de tirs, se voyait déjà mettre le prochain panier. Il croyait en lui, tout simplement.

Des exemples qui motivent

Clara, une triathlète amateure, s’est blessée, mais au lieu de penser « Je ne pourrai plus courir », elle s’est dit « Je vais renforcer mon corps ». Elle est revenue plus forte.
Antoine, goal, a laissé passer un penalty, mais s’est recentré en pensant « Je vais attraper ce ballon », et il a aidé son équipe à gagner.
Léa, grimpeuse, visualise chaque prise avant une ascension, se disant « Je peux atteindre le sommet ».

Ces champions nous montrent qu’en pensant solutions plutôt que problèmes, on peut aller loin, même après des moments durs.

 

4. La pensée positive : Une douche pour l’esprit

Penser positif, ce n’est pas faire l’autruche ou rêver d’un monde parfait.
C’est comme prendre soin de son esprit, un peu comme on une diététique intellectuelle, une hygiène de pensée.
Au lieu de dire « Je ne veux pas foirer », on apprend à dire « J'aime réussir ». Ça change tout, surtout si on trimballe des blessures du passé.

 

Pourquoi éviter les « je ne veux pas ....» ?

  • Le cerveau imagine ce qu’on dit : Si je dis « Je ne veux pas stresser », mon cerveau pense d’abord au stress. Mais si je dis « Je veux être calme », il voit du calme.
  • Ça nous pousse à agir : Penser « Je veux réussir mon examen » donne envie de réviser, alors que « Je ne veux pas me planter » fait juste paniquer.
  • Ça nous met dans le bon mood : Les pensées positives nous font sentir bien, comme un rayon de soleil après la pluie.

 

Des exemples concrets

Emma, 32 ans, comptable, stressait avant une réunion en pensant « Je vais encore bafouiller ». En se disant « Je vais parler clairement », elle a impressionné tout le monde.
Nour, 27 ans, étudiante, avait peur de rater un examen. En pensant « Je vais bien me préparer », elle a cartonné.
Thomas, 45 ans, père épuisé, passait de « Je ne veux plus être stressé » à « Je veux du calme », et il a commencé à faire des pauses pour respirer.

 

Comment s’y mettre ?

  • Écrire ses pensées : Notez « Je ne suis pas à la hauteur » et remplacez par « Je peux relever ce défi ».
  • Se parler gentiment : Chaque matin, dites-vous « Je crée ma réussite ».
  • Imaginer le succès : Visualisez-vous en train de réussir une présentation, comme si vous y étiez.
  • S’entourer de positif : Passez du temps avec des gens qui vous disent « Tu vas y arriver ! ».

Même un petit changement, comme passer de « Je ne veux plus souffrir » à « Je m’ouvre à la joie », c’est comme ouvrir une fenêtre pour laisser entrer l’air frais.

 

5. L’hypnothérapie : Une clé douce pour changer en profondeur

L’hypnothérapie, c’est un peu comme donner un coup de pouce à votre esprit pour qu’il laisse tomber les vieux bagages et adopte une nouvelle façon de voir les choses.

Surtout si vous avez traversé des moments durs, elle vous aide à alléger votre dialogue intérieur sans remuer les blessures.

C’est une façon douce d’aligner vos pensées avec « Je le crois, je le crée ».

 

Comment ça marche ?

  • Parler à l’inconscient : En transe, on va directement là où se cachent les pensées négatives, sans avoir à les décortiquer. C’est comme réparer une maison sans démolir les murs.
  • Changer le discours : On remplace « Je ne veux pas me tromper » par « Je fais des choix avec confiance ».
  • Ressentir le positif : On associe des images (comme réussir un projet) à des sensations agréables, on vit à l'avance ce qu'on aime ou désire.
  • Créer de nouveaux réflexes : Avec le temps, penser positif devient naturel, comme un chemin qu’on emprunte sans réfléchir.

Ce que ça change

  • Moins de blocages : « Je ne peux pas parler en public » devient « Je m’exprime facilement ».
  • Moins de stress : La relaxation apaise, et on se sent plus léger.
  • Des objectifs clairs : Visualiser une carrière épanouissante donne envie d’agir, comme suivre une formation.

Des exemples qui inspirent

Camille, 29 ans, graphiste, avait peur des critiques et pensait « Je ne suis pas originale ». En hypnose, elle s’est vue présenter un projet applaudi, intégrant « Je crée avec confiance ». Elle a osé des designs audacieux.
Mehdi, 38 ans, manager, ne dormait plus, bloqué par « Je n'arrive pas me détendre ». L’hypnose l’a aidé à se dire « Je m’endors paisiblement », et il a retrouvé le sommeil.
Léna, 34 ans, musicienne, évitait la scène à cause de « Je ne suis pas à la hauteur, tout le monde va croire que je suis nulle ». En visualisant un concert réussi, elle a vibré « Je partage ma passion ».

 

6. Mon accompagnement à Besançon : Un voyage avec votre inconscient

Je m’appelle David Frotiée, et à Besançon, j’aide des gens comme vous à poser ce sac à dos trop lourd de pensées négatives.

Pour moi, l’hypnothérapie, c’est comme accompagner un ami dans un voyage intérieur.

Je crois que votre inconscient est une partie de vous incroyablement sage, puissante et bienveillante comme un guide qui sait où aller, même si vous ne le voyez pas encore.

Mon job, c’est de l’écouter avec vous, sans forcer, sans remuer ce qui fait mal, surtout si votre passé a été compliqué.

 

Pourquoi c’est différent avec moi ?

  • Je fais confiance à votre inconscient : Pas besoin de lui dire quoi faire. Si vous pensez « Je ne peux pas gérer mon stress », je guide votre inconscient pour trouver son propre chemin vers le calme, comme une rivière qui retrouve son lit.
  • Pas de fouille dans le passé : Je ne vous demande pas de revivre vos blessures. On travaille en douceur, pour que vous restiez en paix.
  • À Besançon, près de vous : Mes séances sont accessibles, comme un café qu’on prend ensemble pour avancer pas à pas.
  • Un travail reconnu : J’ai aidé des gens comme Hélène, dont j’ai parlé sur France Bleu Besançon, à transformer leurs compulsions alimentaires en une relation saine avec la nourriture.

Des histoires qui touchent

  • Claire, et sa peur de parler : Elle redoutait ses réunions, pensant « Je vais me ridiculiser ». En hypnose, son inconscient a choisi à sa façon une sensation de confiance, comme une lumière qui s’allume. Lors de sa prochaine réunion, elle a parlé avec une aisance qui a surpris tout le monde.
  • Sophie, et ses compulsions alimentaires : Elle se disait « C'est impossible d'arrêter ». Sans qu'elle ait besoin fouiller consciement son passé, son inconscient a trouvé une envie, une façon personnelle de « nourrir mon corps avec soin ». Elle a "gagné en légèreté" et gagné en énergie.
  • Max, et son estime de soi : Il croyait « Je ne suis pas compétent, je n'ai pas les moyens » après des échecs. En transe, il a ressenti une force intérieure : « Je réussis mes défis ». Il a décroché un poste qu’il n’aurait jamais osé viser.
  • Amina, après un divorce : Marquée par « Je ne peux pas être aimée », elle a trouvé en hypnose une sensation de dignité : « Je mérite un amour sincère ». Elle vit aujourd’hui une belle relation.

Comment je vous accompagne

Dans mes séances, je crée un espace où vous vous sentez en sécurité, comme dans un cocon. Je ne cherche pas à comprendre d’où viennent vos blocages si c'est douloureux, car parfois, remuer le passé fait plus de mal que de bien.

Je guide votre inconscient pour qu’il trouve ses propres solutions, comme un ami qui vous tend la main sans vous pousser.

 

Un client qui hésitait à lancer son entreprise, bloqué par « Je ne veux pas échouer », a vu son inconscient choisir « Je construis mon succès ». Aujourd’hui, son projet se développe correctement.

 

Je m’inspire des champions, qui regardent toujours vers l’avant, pas vers leurs chutes.

À Besançon, je vous aide à ancrer ces changements en douceur, à votre propre rythme, pour que votre esprit s’aligne avec vos rêves.

Un simple « Je choisis la sérénité » au lieu de « Je ne veux plus stresser » peut transformer votre vie, comme un petit caillou qui fait des vagues.

 

Pourquoi ça me tient à cœur

Voir mes clients, surtout ceux qui ont traversé des tempêtes, retrouver un sourire, ça me touche profondément.

Vous méritez un esprit qui vous soutient, pas qui vous alourdit.

 

Mon approche, c’est de guider votre inconscient avec respect, pour qu’il vous emmène vers une vie plus lumineuse, sans rouvrir les vieilles blessures.

 

Si vous êtes à Besançon et que vous voulez semer des pensées qui vous portent, je suis là pour marcher à vos côtés, avec douceur et bienveillance.

 

7. Conclusion : Vous êtes l’architecte de votre vie

Nos pensées, c’est comme les plans d’une maison : elles dessinent la vie qu’on construit.

 

« Je le crois, je le crée », « Je le vibre, je le vis »… ces mots nous rappellent qu’on a du pouvoir sur notre réalité.

 

Les pensées négatives, héritées de notre passé, de notre éducation ou du monde autour, peuvent nous enfermer, nous guider dans le sens inverse de ce que l'on veut, surtout si la vie a été dure.

 

Mais on peut changer les choses.

En s’inspirant des champions, en prenant soin de notre esprit comme d’un jardin, et avec un coup de pouce de l’hypnothérapie, on peut transformer ces vieilles croyances en forces.

 

À Besançon, je suis là pour vous aider à poser ce sac à dos trop lourd et à semer des pensées qui vous font vibrer. Comme un coureur face à une montée, osez croire en vos rêves, penser en solutions, et vivre avec passion.

 

Vous méritez une vie qui vous ressemble.